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Toutes les actualités quotidiennes des noms de domaine internet

Lundi 31 mai 2010 à 12:45

Le serveur Web Open Source repasse au dessus de la barre des 54% de part de marché. De son côté, le serveur Web de Microsoft passe de 51,3 à 52 millions de noms de domaine.

Aux côtés d'Apache et Microsoft, les serveurs nginx et lighttpd gagnent également des noms de domaine en mai, ce qui contribue à faire progresser leur part de marché respective.

Seul le nombre de noms de domaine hébergés par le serveur de Web de Google décroit (d'environ 1,4 millons). Une tendance qui s'explique en grande partie, selon Netcraft, par l'arrivée à expiration de sites de blog. Sur les 1,9 million de noms de domaine supplémentaires enregistrés par Apache, 561 000 seraient gérés par l'hébergeur Next Dimension.

Source: Journal du Net

Lundi 31 mai 2010 à 12:16

.CO Internet annonce une première historique : la vente aux enchères du nom de domaine à une lettre « e.co » dont le bénéfice sera affecté à une fondation caritative

La vente aux enchères du domaine e.co aura lieu en ligne et atteindra son apogée lors de la Semaine de l'Internet, lorsque les enchères finales seront diffusées en direct dans le monde entier.

.La société CO Internet S.A.S. (www.COinternet.co), opérateur du registre des noms de domaine .co, a annoncé aujourd'hui qu'elle allait organiser une vente aux enchères internationale au profit d'une fondation caritative, pour le nom de domaine à une lettre?e.co. Les enchères commenceront le 7 juin à midi, heure de New York, lors d'une cérémonie de lancement organisée au siège de la Semaine de l'Internet à New York City. La société .CO Internet sera le parrain officiel de ce festival en l'honneur de l'Internet qui durera une semaine et dont le point d'orgue sera la remise des Webby Awards.

La mise aux enchères en ligne du domaine e.co sera assurée par Sedo, plateforme numéro un des ventes et achets de noms de domaine. Elle se déroulera sur le site www.e.co du 7 au 10 juin prochains. La toute dernière heure des enchères, de 15 à 16 heures, heure de New York, sera diffusée en direct depuis le siège de la Semaine de l'Internet, afin de permettre la participation des enchérisseurs et des spectateurs du monde entier. Tous les enchérisseurs doivent se qualifier à l'avance pour pouvoir participer.

.CO est la nouvelle adresse Internet qui offre aux entreprises plus de choix pour donner une image de marque à leur présence en ligne en choisissant un nom de domaine mondial, reconnaissable et crédible. Actuellement, les adresses Web courtes et faciles à retenir sont très demandées et il y a peu de solutions viables. C'est pourquoi la mise à disposition d'e.co représente pour une société ou une marque progressiste une opportunité exceptionnelle de se procurer une des places les plus convoitées que le marché ait jamais mises à disposition sur Internet.

La lettre « e » a de fortes connotations historiques sur l'Internet puisqu'elle évoque toute une série d'applications électroniques, dont notamment l'email, l'e-commerce et les jeux numériques de toutes sortes.

« Le nom de domaine e.co peut devenir un atout important en termes de stratégie pour toute organisation souhaitant attirer de nouveaux clients et s'adapter aux changements technologiques, tels que Twitter et Facebook qui requièrent des URL plus courtes », a déclaré Kathy Nielsen, directrice des ventes chez Sedo. « Plus l'URL est courte, plus votre marque est facile à faire connaître et à retenir. »

« Nous voulions célébrer notre prochain lancement international non seulement en attirant l'attention sur la disponibilité de l'extension du domaine .CO, mais en permettant également de récolter des fonds pour une fondation caritative méritante », a déclaré Lori Anne Wardi, directrice du marketing chez .CO Internet S.A.S.

« La mise aux enchères imminente de e.co est le meilleur moyen de le faire. Ces enchères offriront par ailleurs à l'acheteur un avantage supplémentaire, puisque le produit de la vente sera octroyé à la fondation caritative de son choix. »

Pour de plus amples renseignements sur la vente aux enchères de e.co ou pour vous inscrire pour participer aux enchères, veuillez consulter le site www.e.co. Pour de plus amples renseignements sur .CO Internet, veuillez consulter le site www.COinternet.co.

À propos de .CO Internet S.A.S.

.CO Internet S.A.S. est l'opérateur de registre des domaines .CO de premier niveau. .CO Internet a été formé par une coentreprise stratégique entre Arcelandia S.A. et Neustar, Inc. Le domaine .CO offre aux particuliers et aux entreprises une option véritablement mondiale, reconnaissable et crédible pour définir leur image par leur présence en ligne. Grâce à des technologies de pointe, à une sécurité renforcée et à des protections sans précédent des droits des détenteurs de marques, le domaine .CO est sur le point de devenir l'adresse Web la plus recherchée au monde. Pour de plus amples renseignements, veuillez vous rendre sur le site www.COinternet.co.

Source: TF1 News

Mardi 11 mai 2010 à 10:08

L'Egypte innove sur internet en donnant pour la première fois sur la toile mondiale, un nom de domaine  en caractères arabes : le chinois et le thaïlandais devraient suivre bientôt. L'arabe est une des langues les plus utilisées aujourd'hui sur le réseau mondial selon l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers l'organisme chargé d'attribuer les noms de domaines  (ICANN).

Cela fait des années que l’Egypte demande à l’ICANN, l’association à but non lucratif qui gère le système des noms de domaines  sur internet, de permettre l’usage de l’arabe. Les sites égyptiens ou arabes étaient en effet jusque-là obligés d’écrire leur nom en lettres latines. Une source de confusion vu la transcription phonétique qui divergeait d’un pays à l’autre.

Avec ses 17 millions d’internautes en 2009, le champion du Moyen-Orient a fini par avoir gain de cause. Dorénavant les institutions, entreprises et organisations égyptiennes pourront écrire leur nom de domaine  en arabe suivi de .mim sad reih, مصر. masr, (Egypte en lettres arabes).

Alors adieu .com, .net, .org ? Pas tout à fait. Des internautes mais aussi des sociétés ne sont pas très « chauds » pour cette arabisation. Ils estiment que cela risque de faire perdre à internet sa première qualité : l’ouverture au monde entier. Tous ceux qui ne connaissent pas l’arabe ne pourront pas accéder à certains sites. En attendant, les trois compagnies égyptiennes qui ont acquis le nom de domaine  Masr sont dans l’expectative. Du fait du week-end musulman, les demandes n’ont pas vraiment encore démarré.

Source: rfi.fr

Mercredi 28 avril 2010 à 12:20

Google a passé plus d’un an à analyser des millions de pages pour évaluer la présence de malwares liés à des noms de domaine : 15% des menaces détectées sont de faux antivirus.

La propagation de logiciels malveillants suit des tendances. Parmi les plus répandues, l'arnaque au faux antivirus semble monter en puissance. C'est en tout cas ce que Google dit avoir constaté en menant une étude sur le sujet, dont les résultats ont été présentés le 27 avril lors de la 3e édition du Large-Scale Exploits and Emergent Threats.

La pub, principal vecteur de diffusion

Après avoir compulsé quelque 240 millions de pages web sur une période de 13 mois, Google a découvert 11 000 noms de domaines impliqués dans la diffusion de faux antivirus renfermant un malware. Un chiffre en hausse qui représente 15% du total des logiciels malveillants détectés par Google.

Dans le détail, l'étude révèle également que les publicités sont l'un des principaux vecteurs de diffusion pour ce type de logiciel malveillant. Les faux antivirus comptent pour 50% des malwares diffusés via des publicités piégées ; un chiffre qui a été multiplié par 5 en un an. (Eureka Presse)

 

Source: www.zdnet.fr

Mercredi 28 avril 2010 à 11:58

Coup de froid sur les services alternatifs reposant sur les fichiers hébergés par RapidShare. En effet, la société allemande a décidé de faire la chasse aux sites utilisant son nom pour mettre en avant des contenus piratés. Un changement de cap notable donc, pour un service qui a pourtant construit une grande partie de sa notoriété sur la violation du copyright.

Il ne fait pas bon ces derniers temps d'avoir un nom de domaine commençant par "rapid". Surtout si la principale activité du site web en question réside dans la promotion de contenus piratés. En effet, Torrentfreak a rapporté hier que RapidShare, le fameux service allemand spécialisé dans l'hébergement de fichiers, a commencé à faire la chasse aux sites web qui exploitent la popularité de son nom de domaine.

"Nous sommes en train d'intensifier nos efforts pour contrer ce genre de sites, notamment contre les moteurs de recherche éponymes et les individus qui abusent de notre marque afin de distribuer des contenus protégés par copyright" a écrit le directeur exécutif de RapidShare, Bobby Chang, à l'attention de l'industrie du divertissement. Cette déclaration n'est pas forcément surprenante, dans la mesure où la société commence à adopter une nouvelle stratégie face au piratage des contenus.

Il faut dire que les ayants droit ont mené la vie dure à RapidShare. Depuis 2007, les condamnations se sont enchainées, notamment du côté de la justice allemande. À plusieurs reprises, et en fonction des plaintes, les différents tribunaux ont exigé la mise en place rapide et efficace de filtres visant à bloquer la mise en ligne de certains contenus piratés. Dernièrement, c'est la plainte de six éditeurs allemands qui a fait l'actualité, avec à la clé la mise en place d'un dispositif pour empêcher l'envoi de 150 livres numérisés.

Ainsi donc, parmi les sites ciblés par RapidShare, nous retrouvons des sites comme Rapidshare.net, Rapidshare4movies.com ou encore Rapid.org. Si nos confrères anglophones n'ont pas eu l'occasion de recueillir les réactions de tous les responsables, ils ont cependant interrogé le fondateur de Rapid.org sur ce sujet. "Nous n'allons pas nous conformer à ces menaces ridicules, comme leur demande d'abandon de notre nom de domaine, et nous allons continuer à bâtir notre communauté" a-t-il affirmé.

Et en cas de mauvaise surprise, tout serait prévu : "si à un moment où à autre il devient nécessaire pour nous de trouver un nouvel hébergeur de fichiers ou de mettre carrément en place le nôtre, nous en sommes tout à fait capables et sommes disposés à le faire". Reste que, si c'est peut-être le cas pour RapidShare, tous les sites web du même genre n'ont pas forcément les épaules pour faire face à ces menaces judiciaires.

À première vue, la décision de RapidShare est incompréhensible. En effet, les sites visés par l'entreprise allemande n'aspiraient nullement le contenu hébergé sur les serveurs. En réalité, ils ne proposaient généralement qu'un simple moteur de recherche dédié, pour aider les internautes à dénicher le contenu souhaité. En d'autres termes, les Rapid.org et compagnie redirigeaient tout bêtement leur trafic directement vers RapidShare.

C'est d'ailleurs ce qu'a rappelé le fondateur de Rapid.org : "nous trouvons ça incroyable, si l'on considère le volume de trafic  et le nombre d'abonnements premium que nous envoyons à RapidShare, qu'ils nous ciblent de façon si agressive et s'aliènent leurs propres clients". Nul doute qu'une telle décision risque d'affecter significativement la notoriété de RapidShare, d'autant que le site a beaucoup oeuvré pour s'imposer comme un incontournable du secteur.

D'une certaine façon, ce n'est pas sans rappeler la stratégie adoptée par YouTube pour gagner en popularité, et devenir au final le numéro 1 des plates-formes vidéos. Pour y parvenir, le site racheté par Google en 2006 a tout simplement choisi de pactiser avec le diable, en adoptant une posture particulièrement laxiste vis-à-vis du respect des droits d'auteur et du copyright, afin de gagner encore et toujours plus d'audience.

Or aujourd'hui, cette popularité est paradoxalement la principale source d'ennuis pour YouTube. Il suffit pour cela de voir le montant réclamé par Viacom en vue du procès contre Google :  1 milliard de dollars de dommages et intérêts au site de partage de vidéos. Cependant, si le schéma est classique, la mise en oeuvre est différente.

En l'occurrence, YouTube n'a jamais attaqué d'autres sites. Et RapidShare craint que le droit des marques, sans doute le moyen le plus simple pour fermer ou déréférencer un site, finisse par mettre son nez dans cette affaire, sous l'action des ayants droit. Dès lors, RapidShare a une réaction épidermique en attaquant tous azimuts.

Source: Numerama.com

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